LaPresse intervista Arin

La rivista canadese LaPresse ha intervista Arin su come è stato diventare membro effettivo, se gli piace la città di Quebec, com’è stare in tour per lunghi periodi e altro.

QUI l’intervista completa e la traduzione la trovate sul FORUM.

Avenged Sevenfold fait partie de ces jeunes groupes rock qui ne manquent jamais de passer par Québec depuis une décennie. Ayant déjà foulé le Pavillon de la jeunesse et l’Agora, en plus d’une soirée courue sur les plaines d’Abraham en 2011, le quintette californien s’offre lundi son premier Colisée Pepsi. Depuis leur dernière visite, le batteur Arin Ilejay, qui remplaçait le regretté James «The Rev» Sullivan, est devenu un membre à part entière de la troupe métal. Le fils de bluesman et de chanteuse gospel ne cache pas au Soleil avoir hésité avant de sauter pour de bon dans l’aventure A7X. Maintenant qu’il a foncé, il se dit plus confiant et investi au sein de la formation.

Q Chaque fois que vous venez à Québec, vous attirez toujours plus de fans. Est-ce que c’est une ville spéciale pour vous?

R Le public est génial chaque fois qu’on vient. Zacky Vengeance [l’un des guitaristes] a déjà pris des vacances à Québec. C’est assurément un endroit où on aime passer du temps.

Q En août, tu es devenu un membre permanent d’Avenged Sevenfold et non plus le remplaçant de The Rev. Comment l’as-tu appris?

R C’était lors d’une rencontre de groupe, les gars se sont rassemblés et m’ont demandé si c’était quelque chose que je voulais vraiment faire. J’ai eu à y penser, parce que c’est une chance incroyable. En disant oui, c’était dire oui à des millions de fans et à beaucoup de jeunes qui ont été marqués par Avenged Sevenfold. Le groupe veut continuer pendant encore longtemps, jusqu’à tant qu’on soit des vieux croûtés rockant sur scène [rires]. J’ai eu besoin de prendre quelque temps pour réfléchir. Mais c’était bien, ça n’a pas été trop long. J’aime jouer de la musique et les gars sont fantastiques.

Q Sens-tu une différence depuis que tu es un «vrai» membre du groupe?

R Même avant que je sois un membre officiel, les gars me demandaient si j’avais des idées. Mais c’est encore plus vrai maintenant. Je suis plus impliqué dans le processus de création.

Q Ça doit parfois être lourd à porter d’être le remplaçant de The Rev…

R Évidemment, c’est une situation délicate, parce que personne n’est vraiment parti. Ce n’est pas comme si c’était mieux qu’avant. The Rev est mort et les gars voulaient juste trouver quelqu’un qui pourrait contribuer à l’héritage d’Avenged Sevenfold. Ils m’ont fait sentir le bienvenu, ont fait en sorte que je ne sois pas écrasé par toutes les attentes. C’est vraiment bien.

Q Hail to the King, le premier disque complet avec ton apport comme batteur, est tourné vers du metal et du rock plus classiques. Comment as-tu abordé ce changement?

R Je ne sais pas comment c’était pour les autres, mais j’ai fait de mon mieux pour incarner le disque et créer les bons styles. C’était une nouveauté pour moi. Je n’avais jamais joué [de metal plus classique ou de hard rock] avant. Dans ma tête, j’allais devoir arriver avec un solo de drum fou pour chaque chanson pour épater tout le monde. Mais les autres m’ont dit : «Non, on va mettre notre marque sur le rock classique.» Alors, j’ai moi-même mis ma couleur. Nous formons maintenant un tout. Nous travaillons tous à faire ce qu’est Avenged Sevenfold.

Q Qu’est-ce que ça te fait de partager l’affiche de festivals avec des groupes qui ont influencé A7X, comme Iron Maiden et Megadeth?

R Même si je n’ai pas vraiment été influencé par ces artistes, ça m’épate, ça me fait triper de savoir que nous jouons aux côtés d’eux. C’est vraiment cool, j’aime ça! Je n’ai pas vraiment grandi en écoutant du métal. J’ai été élevé dans la religion et la musique gospel a toujours été près de moi. Après, des groupes comme P.O.D., My Chemical Romance et Green Day m’ont introduit au nu metal, au punk-rock.

Q As-tu déjà été tenté de jouer de la musique jazz ou blues comme tes parents?

R Quand je retourne à la maison, on the side. J’ai déjà joué du blues quelques fois dans un bar avec mon père. C’est le fun de retourner jouer dans des petits clubs, ça me ramène sur terre.

Q Tu seras loin de chez toi pour les trois prochains mois. Vous avez 45 spectacles d’ici août au Canada, aux États-Unis, en Europe et au Japon. Comment arrives-tu à passer à travers une telle tournée?

R Beaucoup d’eau et beaucoup de sommeil. Si je néglige mon sommeil, je ne suis pas à mon maximum. Je veux avoir l’énergie nécessaire, même si je ne m’entraîne pas vraiment. Jouer les chansons que The Rev a écrites est assez drainant. Mais je m’entraîne plus mentalement que physiquement. Je m’assure de rester groundé et raisonnable en tournée. J’aime sortir et aller à l’épicerie pour me sentir normal. Ça m’aide d’explorer la ville où nous nous trouvons.

Tiziana

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